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Histoire de la littérature française

Résumé
"L'Histoire de la littérature française" de MM. Castex, Surer et Becker, constitue l'ouvrage de référence non seulement pour ceux qui poursuivent leurs études dans ce domaine, mais aussi pour le grand public désireux d'approfondir sa connaissance de notre littérature. Cet ouvrage parcourt l'histoire de la littérature française du Moyen Âge à nos jours.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 48h. 9min.
Édition: Paris, Hachette, 1984
Numéro du livre: 4295
ISBN: 9782010009495
CDU: 840(09)

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Résumé:"Ce qui m'a incité à écrire ce petit livre, ce n'est pas une connaissance approfondie de notre littérature : c'est son inquiète méconnaissance."
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Résumé:Dans le sillage des Pensées de Pascal citées en exergue, Bleuets est un objet hybride quelque part entre l’essai, le récit, le poème. Deux cent quarante fragments composent cette méditation poétique, intime et obsessionnelle autour d’une couleur, le bleu. Le deuil, le sentiment amoureux, la mélancolie sont autant de thèmes chers à Maggie Nelson ici abordés dans une maïeutique convoquant l’art et la beauté entre deux digressions introspectives ou savantes, des fantasmes de l’auteure à des approfondissements autour de la pensée de Platon ou de Goethe, en passant par l’oeuvre d’un Warhol ou d’un Klein ou la musique de Leonard Cohen. Laissons-nous séduire par cette déclaration d’amour fou à une couleur, un livre à ranger précieusement entre les Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes et Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman. « Et si je commençais en disant que je suis tombée amoureuse d’une couleur. Et si je le racontais comme une confession ; et si je déchiquetais ma serviette en papier pendant que nous discutons. C’est venu petit à petit. Par estime, affinité. Jusqu’au jour où (les yeux rivés sur une tasse vide, le fond taché par un excrément brun et délicat enroulé sur lui-même pareil un hippocampe), je ne sais comment, ça a pris un tour personnel. »
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Lu par : Françoise Golaz
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Isabelle Cornaz a vécu longuement à Moscou où elle a travaillé en qualité de journaliste. Se remémorant les détails de sa vie moscovite, elle dresse, dans La nuit au pas, un portrait ambivalent de la ville. S'y dévoile le corps de Moscou, ses cours intérieurs, ses lieux invisibles et les marques de sa gentrification. Le récit s'éloigne ponctuellement de la capitale depuis la proche banlieue jusqu'au cercle polaire, en survolant les villes secrètes de Russie. Entre le songe des souvenirs et la réalité de la guerre qui traverse le récit comme des déflagrations, on avance au pas dans ce paysage désormais inaccessible à l'auteure. "J'ai commencé ce texte en me questionnant sur mon rapport à la ville, sur le désir et la difficulté de la saisir, d'en décrire les pulsions et les motifs - et je l'ai terminé avec le sentiment d'un territoire sombrant, s'autodétruisant au point de se dissoudre". La nuit au pas est un récit sur notre rapport à l'espace, à la mémoire et à la disparition.
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Résumé:"J'aimerais plus tard qu'on dise des pages qui suivent : oh c'étaient des gens qui écrivaient des choses mais surtout, c'étaient des personnes qui s'asseyaient à une table pour discuter de littérature. Cela se passait à la fin d'un siècle et au début d'un autre, en un temps où ils étaient parmi les derniers au monde à s'intéresser à ce truc démodé. Ils péroraient sans s'arrêter, en buvant pour se donner du courage, ils aimaient se parler des livres qu'ils n'avaient pas écrits, des livres qu'ils allaient écrire, des livres des autres comme des leurs, et aussi des vies qu'ils n'avaient pas vécues. Ils conversaient car ils n'avaient pas sommeil. Il se faisait tard, parfois ils ne se souvenaient plus très bien ce qu'ils faisaient là, mais ils continuaient à palabrer, et le soleil était couché, et la France était morte, et ils trouvaient toujours des choses à se dire sur l'avenir du monde. Dans une époque où tout était organisé pour isoler les êtres, leurs conversations impliquaient une forme de refus. Ils discutaient donc ils étaient." Entre 1999 et 2014, Frédéric Beigbeder a interviewé ses écrivains favoris pour la télévision et pour la presse écrite. De Michel Houellebecq à James Salter en passant par Bret Easton Ellis, Tom Wolfe ou encore Jean d'Ormesson, il a rencontré les plus grandes figures de la littérature contemporaine. Ou plutôt, il a entretenu avec elles des conversations joyeusement débridées, dialogues sincères et cocasses, attachants, un brin nostalgiques. Il reprend ici le meilleur de ces interviews, en version complète, non coupée, inédite. Des échanges vivants, libres, généreux et passionnants, avec, au cour, l'écriture en train de se faire.
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Résumé:Edmonton au Canada, Pékin, Kuala Lumpur, Dubaï, Casablanca: un tour du monde en cinq escales, choisies parce qu'elles abritent ces monstres du commerce mondialisé que sont les malls géants. Prétendant transformer la planète en parc d'attractions pour consommateurs manipulés, ces centres commerciaux démesurés sont comme des villes à l'intérieur des villes, avec vocation à absorber la ville réelle. On y vient de loin, on y fait tout, manger, dormir, se divertir, nager, skier, se photographier, acheter, naturellement ; mourir, éventuellement, bien que la seule chose qui ne soit pas prévue, ce sont les cimetières. L'auteure y fait ou y suscite des rencontres, usagers, employés, cadres commerciaux à l'inénarrable discours d'extraterrestres. Elle nous dresse les portraits étonnants des bâtisseurs de ces "meilleurs des mondes" ménageant à la fois le stéréotype (les mêmes marques internationales partout) et l'inattendu, le spectaculaire, l'insensé. Elle promène sur ces immenses miroirs aux alouettes un regard curieux, critique, ironique sans être jamais malveillant, de plus en plus halluciné à mesure qu'elle avance dans son étrange voyage.
Lu par : Bertrand Baumann
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Qu'est-ce qui fait de nous des êtres capables de créer ? Lorsque Diderot écrit que "les grands artistes ont un petit coup de hache dans la tête", il consacre une idée qui traverse les époques et les cultures, celle d'un lien entre folie et créativité. Qu'il s'agisse de la mélancolie selon Aristote, de la tempête des passions selon les Romantiques ou du manifeste surréaliste, tous célèbrent ce lien, au point de considérer la folie comme l'ordinaire des grands hommes. Pourtant l'idée ne résiste guère à l'expérience quotidienne du psychiatre.
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Lu par : Nadine Labedade
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Un parcours en 18 étapes pour prendre sa vie en main et s'accomplir en cessant d'avoir peur et de douter, en terminant ce qui est commencé et en tirant un enseignement de tout ce qui arrive.
Lu par : Serge Valerino
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Une mauvaise fée aux mille visages s'est penchée sur le berceau de l'humanité : la connerie. Elle chemine avec nous, fidèle entre les fidèles, se réinventant au fil des siècles et des cultures. Elle fustige les différences, réduit en esclavage, attise la violence, cultive la cruauté, dévoie les avancées technologiques, trahit les espoirs politiques, gangrène les idéologies, et saccage la planète. Elle suivra notre espèce jusqu'à la tombe, et la creusera peut-être. Le pire, c'est que nous en sommes plus souvent les complices que les victimes ! Du Néolithique à nos jours, plus de trente historiens nous dévoilent la vérité nue et biscornue sur la connerie.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:En 1776, Sade vit ses dernières heures de liberté. Il a trente-cinq ans. S'il a déjà connu de courts séjours en prison, " l'affaire de Marseille ", nouvelle historie de débauche qui éclate en 1772, lui vaut la peine qu'il ne soupçonnait pas : une condamnation à mort, par contumace car le marquis s'enfuit en Italie. En 1775, l'" affaire des petites filles " lui adjoint treize ans supplémentaires de prison. Arrêté à Paris le 13 février 1777, il est conduit au château de Vincennes mais garde la vie sauve grâce à une lettre de cachet ; il en sort en 1790. Il ne sait pas alors qu'il connaîtra encore treize années de captivité, cette fois en asile de fous. Le jeune noble insouciant et friand de plaisirs se mue en un proscrit promis à une vie d'enfermement. C'est pourtant durant cette existence de reclus qu'il deviendra l'écrivain et l'épistolier que l'on sait. Cet " enragé de liberté ", comme l'écrit Jean Paulhan, livrera dès lors, dans les lettres qu'il adresse à sa femme Renée-Pélagie, ultime et fidèle confidente, quelques-unes de ses plus belles pages. Au fil de ses courriers, Sade la supplie et l'insulte tout à la fois : il maudit sa mère la présidente, source de tous ses maux, lui réclame ses commissions d'un ton capricieux - bougies ou livres, cire d'Espagne ou " étuis " -, lui confie avec passion son désarroi et sa rage indéfectible. Il reste inflexible malgré tout : " Le malheur ne m'avilira jamais. " Toujours aiguë, souvent tranchante, trempée parfois d'un humour féroce, sa plume révèle dans sa vérité nue l'homme furieux, fiévreux, et souffrant de ces entraves insupportables. A cela, pour seul remède, l'écriture, toujours, réclamant dans un souffle aux accents de prière " des livres des livres des livres au nom de dieu ".